Pour rester dans la course, les startups, PME et grands groupes ont besoin de recruter des freelances. Voici les principales catégories de freelance concernées.

Recruter des personnes compétentes. Un objectif très difficile à atteindre pour une jeune entreprise. Surtout, s’il s’agit de l’embaucher en CDI. En revanche, elle peut très bien l’engager sur une mission plus ou moins longue. D’où l’intérêt de regarder dans le vivier des freelances en activité. Pourquoi alors se fermer des portes ? Il ne tient qu’à vous de rester innovant.

Bien sûr, les compétences informatiques vont tenir le haut du pavé en cette année 2016. Attention cependant à ne pas se fermer l’esprit. L’innovation n’est pas uniquement technologique. La preuve dans cette liste de métiers.

Commerciaux et responsables commerciaux

En 2015, 2016 ou 2023, l’enjeu reste le même pour toutes les entreprises : il faut vendre. Vite et beaucoup, si possible. Or, un dirigeant d’entreprise n’est pas toujours le meilleur pour vendre. Il a besoin d’être entouré de business developers. Mais le CDI fait peur. « Et si je me rends compte qu’il ne convient pas six mois plus tard ? » Tout de suite, les choses deviennent compliquées.

Avec le freelance, seuls les résultats comptent. Il a en général de l’expérience et fait preuve d’une souplesse à toute épreuve pour atteindre ses objectifs. PME, startups, grands groupes, il sait enfiler le bon costume.

Data Analyst

L’avenir est à la data. C’est presque une banalité de le dire. Les événements startups, entreprises ne cessent de multiplier les réunions pour saisir les enjeux autour de la data : quels datas sont produites ? À qui les confier ? Pour en faire quoi ?

Des sujets techniques qui méritent de s’y consacrer à 100% … avec un freelance. Sinon, vous risquez de perdre du temps. Son expertise va lui permettre de vous guider dans votre quête de valorisation : récolte des données, traitement, analyse. À la fin, l’entrepreneur se retrouve avec une feuille de route claire.

Community manager

Communiquer prend du temps. Surtout sur le net. Il faut créer des pages Facebook, Twitter, Linkedin, Instagram, les animer, les renouveler. Un dirigeant n’a clairement pas le temps de faire tout ça.

D’où l’intérêt de tester un Community Manager en freelance. Réactifs et dotés d’un bon sens de l’humour, ils rajeunissent très vite l’image de la marque et savent quoi faire devant un bad buzz.

Enfin, un freelance a souvent plusieurs missions pour différents clients, ce qui vous permet de le recruter au forfait sans vous inquiéter de lui fournir une quantité de travail équivalant à un temps plein !