Quand on commence en tant que freelance, on court souvent après le premier client. Mais il n’est pas toujours facile à décrocher… Aussi, tout en poursuivant sa prospection, il n’est pas idiot de proposer vos services gratuitement, que ce soit à un ami ou à une association dont vous appréciez l’action par exemple. Cela peut vous aider à mettre le pied à l’étrier et, au final, c’est une référence qui peut vous servir pour la suite : un client n’aime pas essuyer les plâtres et privilégiera toujours un freelance ayant un peu de bouteille – d’où l’importance d’avoir quelques références 😉
Pour se les constituer, vous pouvez passer soit par une connaissance, soit proposer directement vos services à une association.
1) Travailler pour des amis
En cherchant bien, on a tous un ami ou une amie d’ami d’ami qui a une boîte ou un commerce sur lequel on peut se faire les dents. Pourquoi ne pas lui proposer vos services gratuitement ? A vous de trouver quoi en fonction de votre expertise : cela peut être créer son logo, lui faire son premier mailing, l’aider à lancer son blog ou à recruter un employé, faire parler de lui dans le quartier ou sur Internet,…
2) Faire du bénévolat
Même principe ici, sauf qu’en plus, vous faites du bien 🙂 La France est le pays qui compte le plus d’associations au monde : il y en a bien une dont la cause vous touche particulièrement. Une fois trouvée, appelez-la et proposez-lui vos services.
Et vous, comment avez-vous eu vos premières références ? Avez-vous commencé directement avec un client ou êtes-vous passé d’abord par quelques travaux “amicaux” qui vous permis de décrocher de vrais clients après ?
le bénévolat c’est bien, c’est vrai, mais point trop n’en faut… travailler sur un projet où l’on exige de vous une qualité de travail irréprochable, sans être payé, ça peut vite devenir démoralisant !
c’est comme bosser pour les associations, elles paient peu, mais restent quand même assez exigeante.
si on a une expérience professionnelle, essayer de tenter un deal avec son ex patron, ça peut parfois marcher.
certains free lance s’installent avec un contrat de commande venant de leur ex boite. c’est un choix.
il est possible de se rapprocher aussi d’un free lance avec qui on s’entend bien et qui a une activité complémentaire à la nôtre, pour proposer un couple de compétences à ses clients. c’est en tout cas ce que j’ai fait quand j’ai démarré. une amie photographe m’a filé ses adresses et on proposait des boulots ensemble : elle la photo, moi la rédaction. ça a mieux fonctionné que la recherche d’un deal avec mon ex boite.
Les associations, personnellement j’ai donné, avec certes, quelques références intéressantes aujourd’hui, mais j’ai définitivement arrêté de bosser pour ce genre de structure depuis 5 ans.