On a tous eu un client “vampire”.

Vous savez, ce genre de client qui vous “use”, accapare votre temps et votre énergie, et qui, quoi que vous fassiez, n’est jamais content de votre travail… y compris après l’avoir (re)refait selon ses propres indications.

Vous voyez de qui je veux parler ?

Un type de client assez dangereux, car le temps que vous passer à essayer de le satisfaire (en vain…), est du temps que vous ne passez pas à vous occuper de vos autres clients, qui nécessitent, eux aussi, toute votre attention. Sans parler de la prospection, que vous pouvez oublier…

Comment identifier un client “vampire” ?

Quelques signes avant-coureurs devraient vous permettre de les identifier comme, par exemple, le nombre d’emails échangés depuis votre rencontre, il y a 2 jours – s’il dépasse les 250, attention…- , ou les coups de fil – là encore, si votre forfait 15 heures est déjà mort en 48 heures, méfiance…

Comment s’en débarrasser ?

Vampire ou pas, il est souvent difficile de quitter un client – une décision à ne jamais prendre à la légère, car notre réputation peut aussi en pâtir. Cela dit, dans le cas d’un client vampire, il en va aussi de votre santé, et de celles vos autres clients que vous négligez à cause de lui. La bonne décision à prendre est donc de le quitter.

Et vous, avez-vous déjà eu des clients “vampires” ? Si oui, racontez-nous. Comment vous en êtes-vous débarrassés ? 

Sinon n’hésitez pas à lire cet article sur les 4 différents types de client.